"Le marchand de tapis" (freedom-wings et SGF uniquement)

Tic tac, tic tac, le bruit de mon réveil raisonné dans ma chambre, jusqu’au DRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIING, qui disait qu’il fallait que je me lève. En bonne flemmarde que j’étais, et sans parents pour me booster, je me rendormis, une fois mon réveil par terre. Bizarrement, j’avais l’impression d’oublier quelque chose. Mais quoi donc ? Ce ne fut que plus tard que je m’en rappelai, en me réveillant :

-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH, oui, la mission.

Ce jour-là j’avais une mission de prévu. Et oui, je m’étais décidée à devenir une bonne magicienne, et à accessoirement apprendre à contrôler ma magie. Et pour cela, le meilleur moyen, c’était la pratique. J’avais donc choisi de faire une mission avec une guilde appelée Freedom-Wings. J’en ignorais tout, mais cela m’étais complètement égale. Le lieu de rendez-vous était un Oasis dans le désert de Sabbath. Petit problème, j’ignorais complètement où il se situait, mais quand j’avais prit la mission, je n’y avais pas pensé. L’une de mes devises était : Tu fonces, ensuite tu réfléchis. Donc, après avoir fait le tour des villages environnant, je finis par trouver une personne capable de m’y accompagner. Il me laissa un peu avant d’arriver à la destination, en voyant les silhouettes au loin. Et mince, j’étais en retard. Je le remerciais, avant de courir au près des autres mages. Parmi eux, je n’en connaissais aucun. Et à cause de cela, je ne peux m’empêcher de sourire. Enfin, avant toute chose, il me fallait trouver le chef de la guilde, histoire de le prévenir qu’avec un peu de malchance, il y avait des chances que je veuille tous les exterminer. J’eux un sourire, et puis je pris une personne au hasard pour l’interroger. Il me pointa une personne du doigt, le montrant comme le patron des Freedom-Wings. Je le remerciai en le gratifiant d’un sourire avant d’y aller. Je partis donc le voir. Jeune fille que j’étais du haut de ma petite taille, il ne me remarqua pas, donc je me mis à tirer doucement sur l’un de ses vêtements, et une fois qu’il finit par me remarquer, je lui fis un grand sourire avant de lui dire :

-Dites monsieur, il faut que je vous prévienne. Il est possible que dans certains cas de figure, je puisse devenir incontrôlable, et que je veuille tous vous tuer, donc je préférais vous prévenir, juste au cas où.

Et je lui annonçais ça tout sourire. Oui, à cette époque, j’étais bien une gamine.


[hj:je m'excuse, c'est assez déplorable. De plus, la semaine prochaine je ne serais pas là, mais je tenais à participer, vous n'aurez qu'à faire bouger mon personnage, et je reprendrais où vous en êtes quand je reviendrais.]